Tellement de romans à se mettre sous le coup d’oeil depuis que j’ai décidé de remettre ce blogue sur ses pieds virtuels !
Des bouquins attendent sur le divan du bureau (j’ai toujours rêvé d’avoir un divan disponible au travail), sur la table de chevet, dans la bibliothèque.
Je choisis le prochain bouquin selon les rêves, souvent gourmands, du moment.
Et j’avais le goût, lorsque j’ai découvert Les délices de Tokyo, de manger des ramens. Je venais de terminer le très récent et très chouette Zviane au Japon et j’étais encore sur un nuage à rêver des bols de nouilles à slurper sans honte.
En farfouillant le site leslibraires.ca, je découvre quelque chose qui pourrait bien prolonger mes rêveries de ramens. J’achète sur un coup de tête, sans lire le quatrième de couverture, Les délices de Tokyo en poche.
Haricots à Tokyo
Publié au Japon en 2013, écrit par Durian Sukegawa, Les délices de Tokyo ne parle pas de ramens du tout.
Mais, le roman s’ouvre sur un parfum sucré, celui d’une pâtisserie japonaise.
Et puis, les premiers mots nous transporte dans les bras d’un printemps doux en compagnie d’un cerisier en fleurs et d’un cuisiner aviné, Sentarô.
Il vend des dorayaki, une pâtisserie faite d’une pâte sucré d’haricots rouges fourrée dans un pancake. Une vieille dame l’approche, ce jour-là. Elle insiste, elle va travailler avec lui. Elle va confectionner la pâte d’haricots, le an.
Ce qui doit arrive, eh bien, arrive. Bientôt, on fait la queue pour acheter les dorayaki de chez Doraharu. Et bientôt, on se pose des questions sur les mains handicapées de la vieille dame.
Sakura ensuite
Voir les cerisiers en fleur au Japon, puis dénicher un midnight diner ouvert le midi, mmmmm le joli rêve !
Les Délices de Tokyo m’a beaucoup plus, assez pour commander la suite à la libraire indépendante de mon coin de pays. La version cinématographique existe, sous le titre Délices de Tokyo en français et Sweet beans en anglais.
J’ignore où la suite de ce roman va m’amener, mais j’ai hâte d’y être !