J’écris rarement. pour ne pas dire jamais, à propos de livres de conseils pratiques.
Sauf que ce livre m’a tellement aidé. Après avoir dévorer « Le Guide du travailleur autonome 3.1 », je me suis tout de suite procurée « Écrire pour vivre ».
L’auteur va droit au but, il ne fait pas dans le chichi et utilise un excellent amalgame d’expérience, de bons sens et d’humour pour transmettre l’info.
Il ne propose pas de solutions miracles, donne beaucoup d’exemples et partage les ressources que lui-même utilise depuis de nombreuses années.
Et ce livre de conseils pratiques ponctué d’anecdotes est vraiment agréable à lire! J’ai souris à plusieurs reprises.
Le plusss mieux? Le livre m’a donné fourni les conseils et les astuces dont j’avais besoin pour réussir, moi aussi, à écrire pour vivre.
Publié en 2007 aux Éditions Québec-Amérique, « Écrire pour vivre » est toujours aussi pertinent.
Quoique je serais curieuse de lire une version vingt ans plus tard, puisque le marché de l’écriture – si on me permet l’expression complètement vague – a bien changé. Lançons l’idée à l’univers et poursuivons.
En finir avec les idéaux romantiques
C’est en lisant cet ouvrage que j’ai finalement mis dans une jolie petite boite bien douillette mes idées romantiques à propos de l’écriture et que j’ai foncé dans le projet écrire pour vivre.
Je suis à mon propre compte comme rédactrice depuis près deux ans.
Est-ce que je fais des tonnes de fric? Non.
Est-ce que je gagne bien ma vie? Pas encore.
Mais ça s’en vient!
Merci d’avoir lu cette fort brève critique de livre. On se retrouve sur twitter ou une prochaine fois sur ce blog.
À la prochaine!