Vous en avez sans doute déjà entendu parler.
Il s’agit d’un défi inspiré d’une déclaration du célèbre auteur Ray Bradbury.
Pendant son discours d’ouverture pour « The Sixth Annual Writer’s Symposium by the Sea », un évènement soutenu par la Point Loma Nazarene University en 2001, il suggéra à l’auditoire d’écrire une nouvelle par semaine, toute l’année.
À la fin de l’année, déclarait-il aux auteurs et aspirants auteurs présents, vous aurez 52 histoires inédites. Et peut-être que deux ou trois de ces histoires seront bonnes.
En visionnant la chaine YouTube d’une auteure qui mentionnait cette anecdote, de petites étincelles de bonne idée ont jaillit.
Une nouvelle par semaine, ça sortirait mes mots de la routine, non? Et peut-être, peut-être, que je finirais avec deux ou trois histoires assez intéressantes pour les proposer à des éditeurs.
La modération a bien meilleur goût
Ayant déjà des projets d’écritures bien entamés et des objectifs précis, pas d’autre choix que d’y aller aussi mollo que modeste, en plus d’y aller laxisme avec la seule règle du défi!
La nouvelle est un genre avec lequel j’ai peu d’affinité. Rien pour aider, je lis tout au plus un recueil de nouvelles par année. Et encore, quand j’ai la chance de croiser une critique inspirante, sinon…
Seulement, j’ai envie de sortir de mes pantoufles, d’explorer de nouveaux horizons… pas si nouveaux à vrai dire.
Je me suis donnée comme défi d’écrire douze nouvelles… ou contes ou légendes (!) qui prennent racine dans la trame de fond d’un projet de roman fantasy dont je débuterai la rédaction en septembre de cette année.
Du world building en profondeur, quoi!
Au départ, je voulais utiliser ce projet de roman fantasy pour participer à NaNoWriMo, mais finalement, ce sera un projet complètement différent, un polar pour les lecteurs 10-14 ans (que je commencerais la mainteant, mais que nenni pouet poil, faut terminer ce que j’ai commencé d’abord).
Chaque histoire sera publiée sur ce blog le 30 de chaque mois (si je ne m’impose pas de date limite, y’à peu de chance que la moindre nouvelle voit le jour, héhé!) et devra compter au minimum 5000 mots, au maximum 10 000.
Où se projet un peu fou va me mener? Restez branché pour le découvrir!
Merci d’avoir pris le temps de lire et que tous les bons mots soient avec vous, compagnes-compagnons autrices-auteurs!
Source: https://lithub.com/ray-bradburys-greatest-writing-advice/