Neil Gaiman est l’un de mes auteurs préférés. C’est lorsqu’il raconte des histoires aux enfants que je le préfère.
Coraline, Nobody Owens et maintenant, Fortunately, the milk.
Ça me comble de bonheur d’être une fan infidèle. Ainsi, je découvre des trésors à partager…
Neil Gaiman est l’un de mes auteurs préférés. C’est lorsqu’il raconte des histoires aux enfants que je le préfère.
Coraline, Nobody Owens et maintenant, Fortunately, the milk.
Qui s’est attaqué à ces jeunes du plateau Mont-Royal ? S’agit-il de meurtres en série? Y aura-t-il d’autres victimes? Autant de questions que se posent Sabine et Xavier…
Rares sont les romans policier jeunesse qui réussissent à intriguer même les grands enfants. Encore plus rares sont les romans policiers qui passent l’épreuve du temps.
Rouge Poison est ce roman exceptionnel. L’auteure Michèle Marineau signe cette intrigue haletante sans faire dans la dentelle, ni dans l’overdose d’horreurs, un péché capital dans lequel baigne un trop grand nombre de romans policiers. Sensible et intelligente, l’écriture de Michèle Marineau respecte l’intelligence du lecteur et l’entraine avec brio sur les traces d’un assassin par l’intermédiaire de personnages inspirants, Sabine et Xavier.
Dans plusieurs salles de classe du Québec, on continue d’en suggérer la lecture chaque année. Et chaque année, on n’a aucun mal à convaincre les élèves !
Publié en l’an 2000, ce roman loin d’être oublié ne laissera aucun lecteur indifférent. Parents, faites-vous plaisir et lisez ce roman lorsque vos enfants l’auront terminé. Ça vaut réellement la peine!
Disponible partout.
Qui s’est attaqué à ces jeunes du plateau Mont-Royal ? S’agit-il de meurtres en série? Y aura-t-il d’autres victimes? Autant de questions que se posent Sabine et Xavier, personnages que les lecteurs avaient découverts dans L’Homme du Cheshire. Cette fois, ils sont au cœur d’une véritable enquête que mène le policier Pierre Ross, le père de Sabine. Qui réussira à élucider cette sombre intrigue ?
Le charme du roman tient dans cette idée magnifique: partir à la découverte de soi à travers la découverte des autres.
Imaginez un peu que vous trouviez, un bon matin avant de vous rendre à l’école (parce que vous avez encore 16 ans), un paquet dans votre boite aux lettres.
En l’ouvrant, vous découvrez une lettre qui vous annonce que vous partez en voyage l’après-midi même. Le billet d’avion est acheté, il ne vous reste qu’à faire vos valises et à partir. Sauf que, vous ne pouvez amener ni argent ni appareil électronique, et vous ne pouvez emporter que ce qui tiendra dans votre sac à dos.
Est-ce que vous partez?
C’est la prémisse du chouette roman. Une jeune fille reçoit de la part d’une tante récemment décédée 13 petites enveloppes bleues. Elle est dès lors entraînée dans un voyage inattendu qui la conduira autant à la découverte de sa tante que d’elle-même.
Le charme du roman tient dans cette idée magnifique: partir à la découverte de soi à travers la découverte des autres. On voyage d’endroits fabuleux en moments émouvants, et on ne peut que se demander, à chaque page, où on se retrouvera ensuite.
L’auteure Maureen Johnson, qui a aussi écrit la série Hantée (que je refuse de lire avant qu’elle ait terminé d’écrire le quatrième et dernier tome de la série), a une écriture simple, sensible et captivante. Et bonus non négligeable: elle est très drôle!
Eh oui, ce roman, qui se suffit vraiment à lui-même, a une suite. Publié en 2011 en version originale anglaise, La dernière petite enveloppe bleue entraîne l’héroïne sur la route qu’elle a tracé. Mais cette fois, pas d’instruction. À elle de choisir où mettre le pied ensuite.
Dès que j’ai terminé les lectures du mois ( je n’avais encore jamais lu le premier Tara Duncan, pouvez-vous y croire?), je file à la bibliothèque, où ces deux romans sont disponibles dès aujourd’hui!